dimanche 13 mars 2011

Talkative London Tour

En écho à mon excursion londonienne de février. Cette fois-ci, plutôt que des premiers pas dans la grande ville, il s'agissait d'y rejoindre ma prédécesseuse à Cambridge, arrivée il y a peu à Oxford pour la deuxième partie d'un stage de recherche entamé à l'automne 2010. [Elle s'appelle "ma prédécesseuse à Cambridge" pour y avoir fait un stage l'an dernier.], voici le récit imagé d'une nouvelle promenade dans la capitale. Le thème prévu pour la journée était balade et bavardage, et je peux assurer qu'il a été respecté sur tout la ligne. Voici quelques photos prises avant et après l'arrivée de la demoiselle riant souvent et avec bonne humeur.

Il faisait beau. Et j'aime toujours autant la Tamise et ses lampadaires.


Ces alarmes m'ont sauté aux yeux. Du moins, je crois que ce sont des alarmes. En tout cas, je les trouve agréables à l'oeil.


Le printemps est sans aucun doute en route !


J'admire la symbiose entre l'arbre et le panneau. J'ai ainsi remarqué le magasin en arrière-plan...

... Dans la vitrine duquel j'ai découvert que des crocs moins mastoc existaient. Cela a été une révolution dans ma représentation des Crocs comme chaussures grosses, peu élégantes mais confortables, adoptées par mon papa.


Tout plein de jolies grues, dont celle de droite bougeait, wouhou !


J'ai un peu vagabondé dans ce quartier plutôt riche, où le parc à gauche est privé. Les personnes possédant la clé sont de petits veinards.


Au loin, la City.


Saviez-vous que ces célèbres cabines téléphoniques existaient en noir ? Nous non.


Nous avons marché jusqu'au London bridge, dont la peinture bleue contraste étrangement avec les vieilles pierres lorsque l'on est dessus.


Ce chemin permet de suivre la Tamise. Je me demande si le bonhomme est accompagné d'un gland, auquel cas je me sens légèrement poursuivie par les chênes de mon stage.


Ma prédécesseuse m'a fait remarquer Big Ben depuis Trafalgar Square, ça en jette.


Ma vision la plus drôle de la journée est celle de cet homme pancarte. J'ai confondu tous ses confrères avec des ouvriers avant d'être informée de leur rôle par ma prédécesseuse. La plupart du temps, ils n'informent personne sur un itinéraire, ils restent plantés afin que chacun puisse voir leur flèche et lire leur inscription.

Je ne sais pas si ça les amuse beaucoup... En tout cas, pour les joyeuses touristes que nous étions, ça avait son charme.

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